Week-end no.5. (16 et 17 décembre)

Samedi 16 décembre

Retrouvailles après 2 mois de pause, dans le théâtre de l'ADC. Le décor est posé et nous avons passé un moment à l'intérieur afin de l' « apprivoiser ». C'est-à-dire voir ce qu'il est possible de faire, ce qui ne l'est pas et ce qui est à éviter à tout prix.
Nous nous sommes ensuite échauffés avec un cours de « Super-Limon », technique inventée spécialement pour ce projet. En 2050, les corps auront changé, ils seront courbés en avant, (position devant l'écran oblige) et les doigts de la main collés ensemble, à part le pouce (mains Iphone). De plus, des conséquences de la pollution, notre rapport à l'air et à la respiration sera différent.

Cet échauffement nous a amené à travailler sur la « tête fête », une sorte de danse tribale de groupe super énergique et jouissive, que nous avons montrée à Marie-Camille, qui ne pouvait nous rejoindre qu'en fin de journée.

Marie-Camille
« Vous m'avez manqué ! J'ai été super contente de vous retrouver ! De vous voir tous danser, j'ai d'abord sourit, puis je me suis franchement marrée, ça m'a fait comme des papillons dans l'estomac !
En se retrouvant au Grütli les 1ères semaines, on a créé un groupe, un univers, c'était presque devenu une petite « routine ». On s'est même revus 2-3 fois de notre propre initiative. Et là, en voyant le décor, ça devient concret, on comprend qu'il y a un vrai truc derrière tout ce qu'on a fait jusque-là. »


Dimanche 17 décembre

Révision de la tête fête et intégration de Marie-Camille.

L'humeur générale est à l'image de la danse sur laquelle on travaille : joyeuse ! Chacun y va de son énergie positive.

Mais la blague du jour revient à Charlène :

«  Comment on dit SLIP en japonais ? »
-Sakakiki ! »

Merci, Charlène :-)

Il se pourrait peut-être que cette blague trouve sa place dans le spectacle ? Sait-on jamais...Le rire soigne tout, n'est-ce pas ?...

Nous avons terminé ce week-end riche en émotions avec la révision et la mise en espace et en situations de la purification du sol et de la télédirection.

Thomas :
« Les choses se concrétisent. De voir le décor, l'espace, commencer à comprendre les enchaînements, la construction du spectacle, c'est très motivant. On voit pourquoi on bouge, où on va. La phase qui pouvait être un peu « casse-tête » est finie, et maintenant, c'est que du bonheur ! »





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